Hameçonnage par mail plus efficace, empoisonnement des données massives d’entraînement des modèles d’intelligence artificielle (IA), injection de portes dérobées, détournement des chabots, deepfake... les attaques par l’IA sont moins développées qu’on ne le craignait. Mais elles vont se développer.
L’intelligence artificielle (IA) consomme de plus en plus d’électricité. Les modèles Open Source d’IA pourraient contenir cette croissance. Entretien avec Stéphane Fermigier, co-président du Conseil national du logiciel libre (CNLL) qui fédère plus de 200 entreprises du numérique libre (ENL).
Voici trois exemples qui portent sur la sécurisation des données dans le cloud hybride, même en cas d’attaque quantique, sur la suspicion des AVC et grâce à un assistant neurologue numérique et sur la détection des faux contenus audio et des appels téléphoniques frauduleux.
Les architectures cloud native (CN) conviennent particulièrement bien à l’intelligence artificielle (IA). A présent, le tandem CN-AI vise des retours rapides sur investissement, une capacité à comprendre les intentions de l’utilisateur et à créer de la valeur ajoutée distinctive.